Vacances : 4 destinations où danser la salsa

Où danser la salsa dans le monde ? Vous avez l'embarras du choix. 4 pays ont retenu notre attention.

Par définition, salsa rime avec convivialité, soleil, cigales et… mojitos !
Tout cela fait étrangement penser aux vacances. Oui oui, ce super concept où la priorité n°1 est de passer du bon temps.
La salsa connaît un succès universel et se danse dans le monde entier. Evidemment, il y a des destinations qui sont THE PLACE TO BE pour s’éclater sur la piste. On a sélectionné pour vous nos 4 pays coup de cœur. Même en Europe, on est bien loti. Vous allez voir qu’une grande communauté d’artistes implique des soirées de qualité.

Bailamos amigos !

1. L'Italie

L’Italie est un pays mordu de danses afro-latines. L’intérêt des italiens pour la salsa s’est étendu suite au développement du tourisme italien en Amérique latine.
Rome et Milan sont les deux principales métropoles où salsa rime avec religion. À Rome, comptezune petite cinquantaine de lieux de danse consacrés à la salsa (principalement la salsa cubaine). Les clubs sont plutôt situés dans le centre historique et à l’est de la ville. On peut citer le Zanussi, l’Arca dancing social club ou encore le Barrio Latino. Milan détrône la capitale avec plus de 90 lieux de danse. Les clubs sont grands, modernes et joliment décorés. Vous craquerez pour Le Tropicana club latino, l’Encanto club latino ou encore le Refugio latino.

La ville de Milan est également réputée pour la Salsa Portoricaine. Avec les années, de nombreux artistes en Salsa & Mambo ont migré vers cette destination afin de se rapprocher des organisateurs de festivals, présents majoritairement en Europe. Parmi eux, on compte Adolfo Indacochea, Luis Vasquez, Maykel Fonts, Tania Cannarsa, et bien sûr l’incontournable académie de Fernando Sosa.

2. L'Espagne

L’Espagne est le berceau de nombreuses danses très appréciées partout dans le monde (notamment le flamenco). Que cela soit pour la danse, la musique, la beauté des paysages ou encore la langue, ce pays vaut 100 fois le détour ! De nombreux festivals de salsa ont vu le jour à Madrid, Benidorm, Valence…
Barcelone est LA ville où vous aurez le plus de choix en termes de bars latino. On peut citer Antilla Salsa Barcelona, El mojito club ou le Habana Club. Vous aurez, peut-être la chance de rencontrer les très connus Adrian et Anita Santos Rubin, qui enseignent la On2 dans cette ville.
Les espagnols savent jouir des plaisirs de la vie et accordent une importance capitale à la pratique des danses latines. Dynamiques, enjoués, sensuels et appliqués, ils vous feront tourner la tête.

3. Cuba

Cuba est une immense piste de danse posée au cœur de la mer des Caraïbes. À Cuba, la salsa n’est pas une activité propre au loisir, c’est un crédo ! N’est pas cubain celui qui n’est pas salsero. Dans la rue, les restaurants, les hôtels, sur la plage et les patios… On danse tout le temps et n’importe où.
Vous voulez danser avec de vrais cubains dans un cadre idyllique ? Faites un tour au Club 1830 (situé à l’extrémité du Malecon, à la Havane) ou encore sur le patio de l’hôtel Inglaterra ! Vous aurez même droit à un orchestre en live (de qualité !). En plus de son côté festif, Cuba est un des rares pays à conserver une incroyable authenticité. Le wifi est payant et se fait rare. L’occasion idéale de découvrir un monde sans chichi (expérience inédite).

4. New York

New york possède une très grande communauté portoricaine. Ce n’est pas un hasard puisque la salsa de type portoricain est un type de salsa inventé par la communauté latino-américaine des Etats-Unis. Si vous voulez passer au niveau supérieur en salsa on2/on1, New York est THE destination !
On vous conseille le bar/restaurant Gonzalez y Gonzalez, le Club Cache, le Guantanamera, le Vieja Guardia ou encore le Bembe. Dans cette ville, la communauté de salseros est si grande, qu’il y a même un planning de toutes les soirées de la semaine sur ce lien.


Se priver de salsa en vacances, ça nous paraît impossible. Heureusement, vous avez l’embarras du choix ! Quel pays vous tente le plus ? Et pourquoi ?